La graine de nigelle est appelée “habbat al-baraka” (la graine bénie) en Egypte, “al-kammoun” en Libye, “al-qahta” au Yémen, “al-sânouj” en Algérie, “al-shounîz” en Iran et “Nigella sativa” en latin. Le prophète Muhammad (SAW) la nomme la “graine noire” (Al-habba As-sawda’).
La graine de nigelle se compose d’éléments actifs produisant un effet miraculeux. Elle contient du phosphate, du fer, du phosphore, du carbo-hydrate et des essences qui forment l’essentiel de son pouvoir. Elle renferme des antibiotiques pouvant détruire tout virus, microbe ou bactérie, du carotène au pouvoir anti-cancéreux…
C’est au milieu des années quatre-vingts que la médecine moderne s’est intéressée de plus près aux vertus de la graine noire, et le principal auteur de la première étude poussée est le docteur Ahmed al-Qâdî, un médecin égyptien résidant aux Etats-Unis d’Amérique. Son ami, Cheikh Al-Zandânî, explique que le docteur al-Qâdî s’était dit : « puisque le prophète (SAW) a dit que cette “graine noire” était un remède contre toutes les maladies, c’est qu’elle doit certainement agir sur le système immunitaire qui a pour rôle de défendre l’organisme contre les maladies » Et en effet, après certaines expériences sur des sujets accusant une insuffisance immunitaire, le docteur al-Qâdî réussit à montrer que la prise de nigelle par voie orale à raison d’un gramme le matin et un gramme le soir avait la propriété d’accroître les anticorps et de renforcer considérablement le système immunitaire. Le docteur al-Qâdî en a donc déduit le rôle primordial que pourrait avoir cette graine dans le traitement du cancer, du SIDA, ainsi que toute autre maladie qui a pour cause une défaillance dans le système immunitaire. Cheikh Al-Zandânî ajoute que les résultats de ces expériences furent homologués par l’Institut américain des sciences biologiques expérimentales et que le docteur al-Qâdî fut primé pour ses recherches.
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