Certes, il est primordial de connaître le mal dans le but de s’en préserver et de mettre en garde contre lui, comme le dit le poète :
“Je n’ai pas appris le mal pour le mal, mais pour m’en protéger. Celui qui ne connaît pas le mal finira par y tomber.” Comme est sage la parole de celui qui a dit : “Comment pourrait se protéger celui qui ne sait pas de quoi il doit se protéger ?” En outre, ‘Umar ibn Al Khattâb, qu’Allah l’agrée, dit : “La corde de l’islam ne tardera pas à se défaire, fibre après fibre, lorsque grandira en islam celui qui ne connaît pas (les pratiques) de l’époque pré-islamique. De plus, connaître les pratiques de cette époque permet également de réaliser les vertus de l’islam, comme le dit le poète : “L’opposé montre le bien de son opposé ET c’est par leur opposé que les choses sont clarifiées.”
Cet ouvrage du Cheikh Muhammad Ibn Abd Al-Wahhab, qu’Allah lui fasse miséricorde, est d’une grande importance que ce soit pour le commun des gens ou pour les étudiants en sciences religieuses. Il y mentionne les pratiques et croyances des gens de l’époque pré-islamique, la Jahiliyyah, contre lesquels s’oppose le Messager d’Allah (psl). Il est ici accompagné de son explication donnée par le cheikh Sâlih Ibn Fawzân Al Fawzân, basée sur des cours qu’il donna à la mosquée et qui furent transcrits et organisés par certains étudiants. Ce travail fut exposé au Shaykh, qui jugera bon de le faire éditer, après l’avoir relu et révisé. Nous demandons à Allah le Très-Haut de le rendre profitable. Il est certes Audient et répond aux invocations.
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