Description
Â’ISHA – La Bien-Aimée du Prophète
Ibnu Bahîj Al-Andalusî | Éditions ALMADINA
Poème vantant les mérites de notre mère Â’isha et répliquant à ses détracteurs
Elle a consacré sa vie à recueillir et à transmettre avec précision les paroles, les gestes et les réactions de l’Envoyé d’Allah, léguant ainsi à la communauté un trésor inestimable de savoir. Dans son œuvre encyclopédique Siyar A‘lâm an-Nubalâ’ (en 23 volumes), l’imâm Adh-Dhahabî témoigne en ces termes :
« Je ne connais, au sein de la communauté de Muhammad, ni parmi les femmes en général, une femme plus savante qu’elle. »
Lorsqu’elle fut injustement accusée dans son honneur, Allah – exalté soit-Il – prit Lui-même sa défense en révélant des versets du Coran proclamant sa pureté et menaçant les calomniateurs d’un châtiment sévère. Ces versets se trouvent dans la sourate An-Nûr (24), du verset 11 :
« Ceux qui ont répandu la calomnie sont un groupe d’entre vous… »
jusqu’au verset 26.
Allah l’a honorée ici-bas avant l’au-delà : Il a repris l’âme de Son Prophète alors que sa noble tête reposait tendrement sur sa poitrine, et Il a voulu que le Messager soit inhumé dans sa chambre, auprès d’elle, et nulle part ailleurs.
Comment pourrions-nous trouver des mots à la hauteur des mérites de notre mère Â’isha – qu’Allah l’agrée – ?
Un moraliste andalou du XIIIe siècle, nommé Ibnu Bahîj, a magnifiquement célébré ses vertus et pris sa défense dans un poème d’une grande beauté, que nous avons traduit – par la grâce d’Allah – pour nos chers lecteurs et lectrices. Ce poème se distingue par son éloquence, sa profondeur et son élégance, et il a suscité l’admiration d’éminents savants, anciens comme contemporains.





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